Le Bon Marché Rive Gauche et l’ESIEA créent une nouvelle aide pour soutenir les étudiantes

ESIEA : École d'ingénieurs du monde numérique

Le Bon Marché Rive Gauche et l’ESIEA créent la bourse Marguerite Boucicaut : une nouvelle aide pour soutenir les étudiantes engagées dans le secteur du numérique

Conscients de l’importance d’encourager la féminisation des métiers du numérique et l’égalité des chances, Le Bon Marché Rive Gauche et l’ESIEA se sont associés pour lancer la bourse Marguerite Boucicaut. Ce programme, dont le nom fait référence à la fondatrice du grand magasin parisien, comprend plusieurs volets avec un soutien financier mais aussi professionnel, pour accompagner au mieux les étudiantes dans la réussite de leurs projets. Les deux premières bénéficiaires sont Constance Fleury, étudiante en 2è année du cycle préparatoire en classe internationale, et Coralie Tadjfoue, étudiante en 4è année majeure Software Engineering.

Soutenir les étudiantes motivées et engagées dans le numérique

En lançant cette bourse d’étude, l’objectif commun du Bon Marché Rive Gauche et de l’ESIEA est de soutenir celles qui en ont le plus besoin et qui démontrent un réel engagement ainsi qu’une réelle motivation. Pour candidater à ce programme, les étudiants devaient respecter les critères suivants : être une femme, être motivée pour s’engager pleinement dans le programme d’accompagnement, justifier d’un besoin de soutien économique et être inscrite dans l’une des formations de l’ESIEA.

« Après avoir été mise au courant de cette opportunité incroyable, j'ai postulé en envoyant mon CV ainsi que ma lettre de motivation » raconte Constance Fleury, l’une des étudiantes lauréates. « Je pense que mon profil a intéressé le jury, car mon parcours est plutôt atypique. En complément de mes engagements au sein d’événements liés à l’ESIEA ainsi que dans une association de Cyber féminine. Je suis également passionnée par les Maisons de luxe où j’ai eu la chance de réaliser un stage à la fin de ma première année de prépa ingénieur » ajoute-t-elle.

De son côté, Coralie Tadjfoue, la seconde lauréate de la bourse Marguerite Boucicaut a choisi un autre moyen de se démarquer auprès du jury. « De mon côté, j’ai décidé de faire une vidéo de présentation parce que j'étais déjà assez familière avec ce concept-là, notamment après mon travail aux Jeux Olympiques de Paris où la vidéo de candidature était obligatoire ».

Une fois la candidature analysée par un comité de sélection constitué de représentants de l’ESIEA et du Bon Marché, les étudiantes-candidates ont été invitées à un entretien de motivation en présence des équipes du Bon Marché. L’idée avec les entretiens étaient de mieux cerner les projets des étudiantes et d’analyser leur motivation. « Il faut avoir en tête qu’il n’y a pas que l'aspect financier. Il est certes important, mais le jury cherchait surtout des jeunes femmes très motivées puisqu’il y a également toute la dimension mentorat » explique Coralie.

« Pour moi, cette bourse va me permettre de financer mon 3e semestre à l'étranger, donc de pouvoir partir dans une destination qui pour le moment n’était pas envisageable » révèle Constance. « De mon côté, la bourse a déjà eu un impact direct puisqu’elle m’a permis d'acheter un nouvel ordinateur parce que celui que j'avais avant n’était vraiment pas adapté aux études que je fais dans le domaine des softwares » rapporte Coralie. 

Deux nouvelles ambassadrices pour inspirer d’autres jeunes femmes

En 2025, la place des filles et des femmes dans les domaines scientifiques, du numérique et de l’intelligence artificielle ne progresse pas, voire recule en France – la réforme du bac ayant accentué les écarts. Selon une étude du Gender Scan, la part des femmes diplômées en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques (STIM) parmi les diplômées de l’enseignement supérieur en France représente seulement 15%. En tant que lauréates, Constance et Coralie s’engagent à porter les valeurs du Bon Marché auprès des étudiantes de l’ESIEA et à encourager les femmes à envisager des carrières dans l’informatique et le numérique.

« Aujourd’hui, nous avons eu la chance de bénéficier de ce programme extraordinaire, car nous sommes déjà engagées dans le secteur du numérique, mais demain le but est d'aller voir des jeunes filles en collège et lycée afin de leur expliquer que le numérique n'est pas réservé qu'à une élite masculine » exprime Constance Fleury.

Développer des actions de mentorat et un réseau professionnel à destination des femmes représentent des actions clés pour atteindre une plus grande mixité. « Grâce à cette bourse, j’ai une opportunité unique d’être mentorée par une personne travaillant dans le secteur du numérique dans le secteur du luxe. Ce qui me donne envie et me permettra, je l’espère, par la suite construire mon parcours professionnel au sein de grandes Maisons. » précise Constance.

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