GREEN CODE LAB CHALLENGE 2015
Le plus grand CONCOURS INTERNATIONAL d'ÉCOCONCEPTION LOGICIELLE
48 HEURES pour rendre le NUMÉRIQUE plus ÉCONOME en ÉNERGIE
500 ÉTUDIANTS et PROFESSIONNELS du monde entier
Une initiative LABELLISÉE COP 21
Mercredi soir, la 3ème édition du Green Code Lab Challenge a été lancée depuis l'ESAIP d'Angers. 90 équipes de développeurs étudiants et professionnels se sont lancées à bras le corps dans ces 48 heures d'optimisation énergétique.
Au moment où vous lisez ces lignes, ils travaillent sur la réduction de consommation énergétique des objets connectés. En quelques témoignages, vivez en direct l'évolution du Green Code Lab Challenge.
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Tout au long de l'événement, nous publierons photos et vidéos sur les réseaux sociaux avec le hashtag #GCLChallenge |
Témoignages :
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Christophe ROUVRAIS, directeur du Groupe ESAIP, co-créateur du concours: |
« Le GCLC est un challenge que nous avons créé il y a trois ans et qui réunit des étudiants et des professionnels autour de l'écoconception logicielle. Pendant 48 heures, des équipes d'étudiants et de professionnels travaillent sur l'efficience énergétique d'un code. L'objectif est de réduire au maximum l'impact du logiciel. Parallèlement, notre objectif est de sensibiliser les codeurs de demain, les introduire aux différentes techniques à utiliser pour rendre les codes le plus green possible. Nous avons essayé de créer une effervescence au sein de la communauté des écoles et des universités, d'où sortent 15 à 20 mille ingénieurs par an. Dès aujourd'hui, cette communauté doit contribuer à construire le monde de demain et les solutions web, techniques, logicielles, pour limiter l'impact énergétique des nouvelles technologies. » Christophe Rouvrais #GCLChallenge |
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Nicolas Gutowski (Responsable des filières numériques à l'ESAIP) : |
« Nous avons initié le projet avec Olivier Phillipot et Thierry Leboucq de l'association Kaliterre, dans l'idée "d'évangéliser" le Green IT qui était complètement inconnu à l'époque. Il y avait un besoin de communiquer sur les enjeux, et le meilleur moyen était de créer un challenge pour donner une visibilité à ces pratiques. Le Green IT est une pratique transversale, que tout codeur ou développeur devrait connaître. La particularité de cette troisième édition, c'est le sujet : on est tournés autour de l'Internet of Things, les objets connectés. Les années précédentes les sujets étaient orientés web. Mais ces dernières années, nous avons assisté à l'explosion des objets connectés, aussi bien dans le quotidien des utilisateurs que dans certaines disciplines comme la médecine, les drones... Il faut réfléchir dès aujourd'hui à la consommation de ces objets et faire parvenir ce message à l'international. L'objectif est avant tout de diffuser les bonnes pratiques, et de faire réfléchir cette jeunesse qui porte l'avenir. »
ITW Nicolas Gutowski |
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Alexandre Inarra de l'entreprise Polycom, partenaire de l'événement et créateur de l'infrastructure logicielle permettant de relier les écoles entre elles : |
« Cette année, 15 écoles différentes sont connectées pour le Green Code Lab Challenge, avec l'infrastructure de l'ESAIP et les solutions logicielles de PolyCom. Pour notre entreprise, le Green Code Lab est à la fois l'occasion de tester nos solutions concrètement et d'être cohérent avec nos valeurs. »
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Florian Donadoni, étudiant à l'ESAIP et membre de l'équipe Gream, lauréate de l'édition 2014 : |
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« Nous sommes l'équipe qui a gagné le challenge l'année dernière. On remet notre titre en jeu, pour montrer que l'idée n'est pas juste de gagner ! Dans le groupe, nous sommes trois spécialisés dans les objets connectés. Ce sont donc des choses qu'on utilise et qu'on étudie. Aujourd'hui il faut faire comprendre aux gens que l'informatique consomme, et qu'il est possible d'avoir un objet connecté durable, avec plus de batterie, simplement en optimisant la conception de son code. Dans un monde comme le nôtre où les entreprises du numérique sont "superpuissantes" et se développent à toute vitesse, la diffusion de ces pratiques peut compter. »
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Fabien Jouron, venu soutenir les développeurs du Groupe La Poste qui participent au challenge : |
« La Poste a beaucoup d'informaticiens mobilisés dans les grandes villes de France. C'est donc intéressant pour eux de rentrer dans l'écosystème du numérique, notamment avec les étudiants. La Poste est aussi engagée dans une démarche de Transition énergétique, en développant des compétences autour de ce domaine et grâce à certaines infrastructures innovantes. Si une équipe de la Poste participe à ce challenge, c'est parce que le GCLC réunit les compétences qui sont mises en place et la stratégie de développement du Groupe. »
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